samedi 9 juin 2007

Que peut-on découvrir en soi?

On peut découvrir en soi, et autour de soi, les moyens qui permettent de revenir à la vie et d'aller de l'avant tout en gardant en mémoire sa blessure.
Les chemins de vie se situent sur une crête étroite, entre toutes les formes de vulnérabilité.
La seule protection consiste à éviter les chocs qui détruisent autant qu'à éviter de trop s'en protéger.
Chaque âge possède sa force et sa faiblesse et les moments "non blessés" de l'existence s'expliquent par notre capacité à maîtriser, voire à surmonter, ce qui, en nous, relève, dans un constant remaniement, de l'affectif et de l'environnement social et culturel.
Le bonheur n'est jamais pur.
Pourquoi faut-il que, si souvent, une bouffée de bonheur provoque l'angoisse de le perdre ? Sans souffrance, pourrait-on aimer ? Sans angoisse et sans perte affective, aurait-on besoin de sécurité ? Le monde serait fade et nous n'aurions peut-être pas le goût d'y vivre.

3 commentaires:

wounded_spirit a dit…

Je crois que c'est justement les moments difficile qui nous permettent de mieux savourer la vie quand ils passeront.. Seulement, la blessure peut être grave, une grande soufrance qui ne nous laisse aucune chance de la surmonter sauf par un coup de magie. je resterai en quête du bonheur absolu pour tant il n'existe pas mais c'est la seul chose qui me tiens encore en vie.

ulyssen a dit…

je suis assez d'accord, sinon la vie serait tellement triste, on dit souvent que le tps guerri toutes les blessures, on n'oubli pas forcement mais on depasse

Sierva Maria a dit…

je crois qu'on a besoin de souffrir pour nous rendre compte du bonnheur quand il arrive!!! besoin de conaitre le fond pour mieu jouir de la surface...
la notion de bonheur et de malheur varie selon chaqun,et varie en chakun,c'est pourquoi certaines epreuves transforment un plaisir simple et anodin en bonheur intense parfois...

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